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Nouveaux solvants alternatifs au perchloréthylène

Interview de M. Pagerey, Directeur du CTTN-IREN, sur l’apparition de nouveaux solvants d’entretien professionnel dans le cadre de l’interdiction prochaine du perchloréthylène.


COFREET : A l’heure actuelle, quels sont les nouveaux solvants alternatifs utilisés par les pressings pour remplacer l’usage du perchloréthylène ?

 

M. Pagerey :

Les exploitants ont maintenant à leur disposition un choix important de solvants alternatifs :

- Les Hydrocarbures (dits aussi KWL). Il en existe plusieurs mais ce sont tous des solvants pétroliers, de la même famille. Ils sont connus et utilisés dans d’autres pays, depuis plus de 25 ans, notamment en Allemagne et aux USA. Certains exploitants hexagonaux ont commencé à les utiliser depuis le milieu des années 90 et ensuite ;

 

- Le décaméthylcyclopentasiloxane (noté couramment D5). Il s’agit d’une molécule à part entière comportant du silicium (C10H30O5Si5). On dit souvent qu’il s’agit d’un solvant siliconé. Son utilisation est conditionnée à l’adhésion à une franchise spécifique, pour des raisons contractuelles entre le franchiseur et le détenteur d’un brevet, dont l’objet est l’utilisation de ce solvant en machine de nettoyage à sec. Il est utilisé depuis plus de 15 ans par des exploitants d’Amérique du nord, en particulier ;

 

Puis il existe des solvants plus récents, apparus sur le marché à partir de 2010 :
- Le Solvon K4 (nom commercial) qui est un hydrocarbure oxygéné ; dibutoxyméthane est son nom chimique. Il correspond à un procédé de nettoyage à sec développé par KREUSSLER Gmbh, laquelle société (présente aussi sur la marché de l’aqua nettoyage et de la blanchisserie de collectivités) propose également des produits spécifiques (pré brossage et détachage préalable) et un renforçateur de nettoyage (additif tensioactif introduit avec le solvant, dans la machine) et désigne l’ensemble par le vocable commercial : « System K4 » ;

 

- L’Arcaclean, mélange d’éthers de propylène glycol, développé pour le nettoyage à sec par la société française ARCANE INDUSTRIES, en association avec des produits spécifiques pour les prétraitements (pré brossage, détachage préalable) ;

 

- Le Ktex, qui est un mélange d’hydrocarbure associé à un éther de propylène glycol, développé par le groupe BARDAHL, spécialiste des lubrifiants, nettoyants, huiles, ... dans le domaine de la mécanique, automobile en particulier ;

 

- L’Hi-Glo, le plus récent, qui consiste aussi en un mélange basé sur un hydrocarbure. Il a été développé par un lessivier, fournisseur de la blanchisserie industrielle, qui a repris récemment la marque Britannique de produits destinés au nettoyage professionnel d’articles textiles et vêtements, Cole & Wilson. Il vient compléter ce qu’est maintenant la gamme de produits et procédés « Gentle Care » de cette marque, en plus ce qu’elle propose pour l’aqua nettoyage, par exemple.

 

Et prochainement, un nouveau solvant devrait encore apparaître sur le marché, d’après les informations que nous avons, mais je ne peux vous en dire davantage à son sujet pour le moment.

 

Et puis, parallèlement aux solvants, il existe l’aqua nettoyage, que je viens d’évoquer. Mais là aussi, les procédés d’aqua nettoyage, basés sur des marques et des gammes de produits et matériels, sont assez nombreux, puisque l’on en dénombre au moins 7 très facilement : des produits d’aqua nettoyage (mouillants, détergents, apprêts, protecteurs de fibres, agent de finition,...) de marques distinctes, proposés d’ailleurs en association avec du matériel (laveuse-essoreuse et séchoir rotatif) de marques spécifiques, ou indépendamment de toute marque, les matériels d’aqua nettoyage étant eux-aussi très divers (marques et caractéristiques).
 

COFREET : Quelles sont leurs caractéristiques et en quoi diffèrent-ils du perchloréthylène ?

 

M. Pagerey :

Cette question appelle des réponses détaillées et très techniques. Mais pour rester succinct autant que possible, rappelons tout d’abord que le perchloréthylène (PCE), appelé aussi officiellement tétrachloréthylène, est un solvant chloré, considéré comme très volatil dans le cadre de l’usage qui nous occupe (nettoyage à sec), et il est aussi classé CMR (Cancérogène probable).


Les autres solvants ne sont ni chlorés, ni considérés comme cancérogènes, sont 20 à 100 fois moins volatils (Pressions de vapeur à 20°C de l’ordre de 18 à 60 Pascals, contre 1900 Pascal pour le PCE), ce qui limite considérablement l’exposition effective à ces solvants, par rapport au PCE.

 

En revanche, ils se caractérisent d’une façon générale par un pouvoir nettoyant moindre, ce qu’il conviendrait de nuancer selon les solvants. Si ce peut être un inconvénient, c’est aussi un avantage par rapport à certains vêtements fragiles. Il faut rappeler à cet égard que le nettoyage professionnel a deux objectifs à placer sur le même plan : enlever les salissures, les taches, et préserver l’intégrité des vêtements (aspect en général, coloris, taille, finition). « Nettoyer » signifie en effet rendre « net », ce qui ne se limite pas à l’enlèvement des salissures, en machine et/ou en appliquant des prétraitements (pré brossage ou détachage préalable à l’introduction en machine). C’est pour atteindre ce double objectif, facilement ou avec de moindres difficultés, que le nettoyage à sec, donc en milieu solvant (incluant « lavage » et séchage) a été inventé. Ce que l’on confie très souvent à un professionnel, ce sont précisément des articles délicats, composites, doublés, triplés, constitués d’accessoires, d’empiècements, d’ornements, ou simplement de fibres délicates.

 

Un autre point : le PCE est ininflammable (absence de point d’éclair et de limite inférieure d’inflammabilité, notamment). Les solvants alternatifs sont tous considérés comme Combustible, selon le classement européen en vigueur. C’est-à-dire qu’ils se caractérisent par un point d’éclair élevé (supérieur à 60°C). Mais les machines de nettoyage à sec qui mettent en œuvre ces solvants, sont conçues et sécurisées de telle sorte que le risque suggéré par ces deux notions physiques évoquées, est écarté. En outre, la moindre volatilité des solvants alternatifs rend les phases de séchage plus longues qu’avec le PCE, de l’ordre de 10 à 15 minutes. Celles-ci se déroulent aussi à des températures un peu plus élevées, pour les mêmes raisons. Leurs circuits de séchage sont d’ailleurs plus volumineux. Bien sûr, pour ces raisons, ces machines sont plus onéreuses qu’une machine au PCE.

 

Ajoutons que ces solvants répondent aux critères d’utilisation énoncés dans la réglementation environnementale applicable par les professionnels du nettoyage à sec.
 

COFREET : Quelle place les professionnels de l’entretien textile vont-ils accorder à ces nouveaux solvants par rapport au développement de l’aqua nettoyage ? Deux procédés d’entretien concurrentiels ou complémentaires dans les pressings ?

 

M. Pagerey :

Là aussi, la réponse est complexe. Commercialement, les procédés d’aqua nettoyage et les procédés de nettoyage à sec alternatifs sont concurrents. Mais la concurrence existe aussi au sein de chacune des deux familles de procédés, compte tenu de la diversité proposée par les fabricants dans leur ensemble ...

 

Cela étant, pour tenter de répondre à votre question, il faut rappeler un facteur de choix important à l’heure actuelle (même s’il vous a déjà été précisé) : l’existence d’un dispositif d’aides financières attribuées aux exploitants dans le cadre de la substitution du PCE. Les organismes qui allouent ces aides à l’investissement sont les Agences de l’eau, les CARSAT, le RSI pour les exploitants qui n’emploient aucun salarié, et l‘ADEME. Les CARSAT allouent des aides uniquement aux exploitants qui optent pour l’aqua nettoyage en procédé unique. De même pour le RSI. En outre, ces aides sont cumulables avec celles accordées par les Agences de l’eau et l’ADEME (sous condition de plafond d’aides cumulées, pour l’ADEME). Ces deux derniers organismes n’ont pas défini, pour leur part, de conditions quant au choix technologique. L’aqua nettoyage est donc plus largement subventionné. De plus, il permet de s’affranchir de la réglementation environnementale applicable aux installations de nettoyage à sec (ICPE rubrique n° 2345), qui est contraignante et engendre des dépenses non négligeables de mise en conformité. Enfin, l’investissement dans un procédé d’aqua nettoyage est moins onéreux que dans une machine de nettoyage à sec à solvant alternatif (la notion de coût de production étant liée à d’autres paramètres). Tout cela pour dire que ces facteurs-là en tous cas, incitent les exploitants à opter pour l’aqua nettoyage. D’après les statistiques de la substitution subventionnée (il est probable que certains exploitants n’aient pas sollicité d’aides financières, même s’ils resteront peu nombreux), 68% des machines au PCE qui ont été remplacées avant le 31 décembre 2015 (la substitution s’opérera jusqu’au 1er janvier 2022, selon le calendrier réglementaire, fonction de l’âge des machines) en ayant été subventionnées, l’ont été par l’aqua nettoyage. Le procédé qui arrive en seconde position, c’est le nettoyage à sec aux hydrocarbures (24 %). Solvon K4 : 5% ; Ktex : 2% ; D5 : 1%. Au total, 32% des machines au PCE ont été remplacées par des machines à solvant alternatif, dans le cadre des aides financières.

 

Ensuite, l’aqua nettoyage apparaît aux yeux de certains exploitants comme relevant d’une technologie plus simple que le nettoyage à sec. En effet, il est certain qu’en comparaison, une machine de nettoyage à sec est bien plus complexe technologiquement parlant (il s’agit d’une sorte de « lavante–séchante », qui fonctionne en circuit fermé pour limiter au maximum les émissions atmosphériques de vapeurs de solvant, et qui comporte d’autres fonctions d’épuration et de recyclage du solvant in situ : filtration, décoloration du solvant le cas échéant, distillation du solvant souillé, séparateur des phases aqueuses et solvant, après séchage -condensats issus du séchage - et après distillation – condensation du distillat ; à noter qu’une machine de nettoyage recycle, en conséquence de ces fonctions qu’elle intègre, plus de 99.5% du solvant qui entre en contact avec les articles textiles à nettoyer).

 

Par ailleurs, l’aqua nettoyage est plus sobre en termes de consommations par cycle, ce qui séduit les exploitants. Comme leurs clients, ils sont sensibles à un argumentaire écologique, ce que développent les distributeurs de matériels et de produits d’aqua nettoyage. Cela étant, pour effectuer une comparaison rigoureuse des consommations, il faudrait exprimer celles-ci sous la forme de ratios, avec au dénominateur, la quantité d’articles textiles effectivement introduite dans la machine, dans la réalité des contraintes d’exploitation, le tri ayant une très grande importance en aqua nettoyage. Et en ce qui concerne les produits utilisés et les rejets d’eaux usées, sur le plan de l’écologie, il conviendrait d’y regarder de plus près avant de se prononcer...

 

Il faut en effet s’intéresser de près à la mise en œuvre de la technologie proprement dite sur le terrain, en fonction de la qualité des articles qui se présentent. A cet égard, certains exploitants rejoignent l’avis du CTTN, en particulier par expérience, en considérant la qualité du service rendu aux clients qui leur confient leurs vêtements. Elle n’est pas toujours bonne, et loin s’en faut parfois, en raison de la réaction à l’eau de certaines fibres, notamment. Ils estiment donc que l’aqua nettoyage et le nettoyage à sec sont complémentaires, non pas concurrents. Les exploitants équipés d’un procédé d’aqua nettoyage et d’un procédé de nettoyage à sec, soit sur un même site, soit entre plusieurs magasins dont ils sont propriétaires, ne sont pas rares. D’autres sous traitent la part de vêtements à traiter en nettoyage à sec.

 

L’aqua nettoyage est aujourd’hui une technologie représentée par des procédés qui ont effectivement amené des progrès incontestables par rapport aux premiers procédés de ce type, proposés plus de 20 ans auparavant. Ces progrès résident dans l’élaboration et dans les propriétés des produits (détergent, apprêts, etc.) à utiliser, mais aussi dans la conception des matériels et dans la souplesse de leur programmation. Cela étant, force est de constater qu’un procédé d’aqua nettoyage ne peut traiter efficacement tous les articles que peut traiter un procédé de nettoyage à sec. Nettoyer efficacement signifie que deux objectifs soient satisfaits, comme je le rappelais : enlèvement de salissures et préservation de l’intégrité du vêtement ou de l’article. S’ajoute à cela, dans un contexte industriel (même s’il s’agit le plus souvent d’exploitations ou d’unités de traitement de petites tailles), la productivité du procédé, qui doit être au rendez-vous, finition incluse, avec un rendu final optimal pour le client. Or, le repassage postérieur à l’aqua nettoyage, sur des articles constitués de fibres naturelles, protéiques en particulier, et/ou de certaines fibres artificielles, demande bien davantage de temps et d’application, pour des résultats qui ne sont pas toujours satisfaisants. Il faut penser aussi au cumul des effets d’un procédé donné sur un vêtement, pour les clients récurrents (qui ne sont pas rares). Car les enjeux sont bien la satisfaction du client, incluant le délai de la prestation, mais aussi le coût de production et la rentabilité, du point de vue de l’exploitation cette fois, exploitation qui doit rester pérenne.

 

L’évolution de la composition des vêtements et articles textiles de certaines gammes justifie cependant pleinement l’aqua nettoyage, dès lors qu’il s’agit notamment de fibres mixtes : polyester/laine, par exemple, ou polyester/coton, de coton dans certains cas, de fibres synthétiques, de certains linges de maison, etc. On limite ainsi l’usage d’un solvant, en faisant appel à un procédé (laveuse et séchoir rotatif) qui offre une grande souplesse d’utilisation, qui constitue aussi un outil professionnel par rapport à la machine à laver ménagère de capacité réduite, dont beaucoup de pressings étaient ou sont encore dotés en complément de la machine de nettoyage à sec.

 

L’aqua nettoyage connaîtra encore un fort succès, en procédé unique pour beaucoup de petites installations et comme procédé complémentaire pour les plus importantes, ou pour les exploitants qui possède plusieurs magasins, en opérant un « mix ». Il faut cependant que les exploitants aient bien conscience des avantages et inconvénients  des différentes technologies qui leur sont proposées pour effectuer leur choix. Il s’agit d’investissements lourds, pour ce métier, quels qu’ils soient. Il ne faut donc pas se tromper.
 

COFREET : Quelles recommandations, partant des observations du CTTN, pouvez-vous faire aux marques de textile et d’habillement qui préconisent souvent à leurs clients d’avoir recours à un professionnel de l’entretien ?

 

M. Pagerey :

Tout d’abord, nous leur recommanderions de s’intéresser au mieux de leurs possibilités, à l’ensemble de ses nouveaux procédés et d’intégrer aussi le fait que, pour l’heure et encore pour quelques temps (le comité de normalisation ad-hoc est à l’œuvre), les symboles d’entretien ne se rapportent qu’à une partie d’entre eux : hydrocarbures  (spécifiquement) et aqua nettoyage  (le  signifiant : nettoyage professionnel au perchloréthylène et aux hydrocarbures).

 

Nous leur recommanderions aussi de s’assurer que les équipes concernées aient une bonne connaissance de la signification des symboles d’entretien et des méthodes d’essais associées, dans leurs principes, lesquelles conduisent, en fonction des résultats obtenus, à recommander tel ou tel mode d’entretien. Ces méthodes diffèrent, en effet, entre le PCE et les Hydrocarbures, notamment. Avec les nouveaux solvants, les cycles sont plus longs (action mécanique prolongée au séchage) et les températures du circuit d’air sont plus élevées. Par ailleurs, l’aqua nettoyage fait l’objet d’une méthode d’essais qui, comme le procédé lui-même, englobe le séchage : or, un article lavable à basse température ou à la main, ne supporte pas nécessairement un séchage en tambour, dans un séchoir professionnel qui constitue l’une des composantes d’un procédé d’aqua nettoyage, ou alors éventuellement, sous certaines conditions. Il est d’ailleurs prévu, parmi les symboles et aussi parmi les méthodes d’essais normalisées, un traitement d’aqua nettoyage modéré    ou très modéré  .

 

Concernant l’aqua nettoyage, il faut bien intégrer le fait que ce symbole n’est plus optionnel, d’après la norme qui régit les symboles et ce, depuis la parution de la version 2012 de ladite norme. L’absence de tout symbole se rapportant à l’aqua nettoyage sur un article donné, signifie donc qu’il est possible de l’utiliser pour l’entretien de l’article. Il vaut mieux l’avoir vérifié avant la mise sur le marché de l’article concerné et employer au besoin le symbole adapté :   ,  , ou   ou encore  , indiquant pour ce dernier que l’aqua nettoyage est proscrit.

 

Il faut donc utiliser ces symboles, de façon adéquate. Nous leur rappellerions qu’il est donc préférable de procéder à des essais, ne serait-ce que par échantillonnage, quel que soient les modes d’entretien envisagés, afin de prévoir au mieux les recommandations d’entretien. En outre, les symboles (très pratiques au demeurant) ne couvrant pas encore l’ensemble des nouveaux procédés de nettoyage professionnel, ni même d’ailleurs forcément les procédés d’aqua nettoyage qui revendiquent maintenant le « tout sécher » (ce qui n’était pas forcément le cas auparavant ; on ne séchait que partiellement en tambour, le plus souvent), on peut utiliser des recommandations d’entretien littérales, si besoin.

 

A cet égard, il faut bien garder à l’esprit (même si pour beaucoup, ce propos enfonce une porte ouverte) que le comportement d’un vêtement à l’entretien ne dépend pas uniquement de la nature de la fibre choisie. Les réactions indésirables éventuelles peuvent venir des coutures (et de la nature du fil de couture), des triplures, des thermocollants, des doublures, des empiècements, des accessoires, etc… , sans oublier les coloris. Certains choix sont à faire en conséquence.
 
Pour plus d’informations, rapprochez-vous de nous via info@cofreet.com ou consultez le site du CTTN-IREN : http://www.cttn-iren.com/

 

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